Imaginons une porte d’apparence cubique en dimension 3.
Cette porte tourne sur elle même autour d’un axe.
Elle décrit donc une partie de cylindre.
Cette porte est donc un hyper-cylindre de dimension 4.
Cette porte nous apparaît cubique mais différente selon chaque instant.
Ouverte, fermée, entrouverte et autres aspects.
Tel pour une porte, l’absence de changement peut donc être traduite comme une intemporalité de la porte.
Pour mon esprit de dimension 3, le temps s’écoule et traduit l’évolution des phénomènes.
La porte a donc une quatrième dimension n’est donc pas le temps, mais la coexistence des états.
Appelons cette quatrième dimension, dimension des possibles.
Posons alors que le temps n’est pas une dimension, mais l’effet subjectif de la réalisation de certains de ces possibles.
On peut dès lors envisager l’existence de possibles de dimensions 3 non réalisés dans notre réalité de dimension 3.
Ne pourrait-on pas alors imaginer qu’il existe d’autres réalités de dimension 3 ou ces possibles sont réalisés.
Il s’agit juste de réalités parallèles à la nôtre.
Le temps n’est donc pas une dimension réelle.
Il n’est qu’une pseudo-dimension telle la force centrifuge dans un manège.
S’il était dimensionnel, on pourrait le parcourir en deux sens et à différentes vitesses.
Né de l’univers, il mourra avec lui. Il est donc un infini qui a un début et une fin.
Il est donc impossible de définir une constante temporelle universellement égale à l’unité.
Il est en revanche possible de déterminer une constante pour la longueur, la largeur, la profondeur.
Il suffit de mesurer l’univers dans ces dimensions.
Par exemple, il suffit d’un tir LASER dont on attend le retour après la traversé globale de notre univers infini mais borné.