C’est un ouvrage écrit par Amir D. Aczel, aux éditions JC Lattès. ISBN 978-2-7096-2805-1
« Une histoire véridique où il est question de mathématiques et de la quête de la vérité ultime sur l’univers. » C’est la petite phrase que vous trouverez sous le titre dans les premières pages de ce grimoire.
J’ai retrouvé ce grimoire dans ma bibliothèque en continuant de déballer mes malles suite à mon retour au Pic. Ma première réaction, fut de me demander pourquoi ai-je acquis ce grimoire car je ne suis point aise avec les mathématiques. Toutefois, les quêtes, cela me connait, enfin cela nous connait bien, avec mon mage, nous en avons faites quelques unes.
J’avance bien dans l’étude de ce grimoire et je me questionne beaucoup. Il est relaté la vie de ce Descartes, ses voyages, ses études, ses relations aux autres mathématiciens, mages, ésotériques, philosophes et rois de son temps.
On y parle même d’une société secrète, société de laquelle Descartes se défendit de faire partie. Ne serait-ce point à cause de son ardeur à s’en défendre que ses détracteurs ont pu croire qu’il était réellement rosicrucien?
Ensuite, la censure et les procès exercé par l’Église de l’époque, ont rendu notre René assez frileux et craintif, de sorte qu’il s’autocensura, voire ne se publia pas. il écrivit ses découvertes pour lui, les coda, les masqua, comme lui avait décidé d’avancer masqué. Ce qui fait que quand on retrouva ses écrits, et son fameux carnet secret, il était codé, avec le même code que les rose croix, enfin, avec les mêmes symboles qu’avaient utilisé les rosicruciens. Rosicruciens dont certains faisaient partis des amis de René, voire de ses amis proches.